L’économie de la création repose sur un équilibre entre une logique d’artisanat, de passion, d’intuition, et une logique de rationalisation. Il est fragilisé dans le vin par l’arrivée de la grande consommation et du luxe. Éric Goettelmann a une ambition : faire en sorte que le singulier et l’exceptionnel résistent aux logiques économiques qui déferlent sur le vin.

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