Laure Quoniam, soucieuse du peu de cas qu’on faisait de l’harmonie avec nature dans les travaux des Trente glorieuses, s’engage dans une discipline balbutiante, l’architecture paysagiste. Après avoir mené un projet marquant, la réhabilitation du site du pont du Gard, elle multiplie les projets avec comme idée : « La création paysagère, c’est construire des tableaux dans l’espace comme un architecte avec une sensibilité de peintre. »
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